Chaque année, pour l'arrivée du printemps, la poésie est à l'honneur avec deux manifestations qui la célèbrent en France et dans le monde. D'une part la journée mondiale de la poésie, organisée par l'UNESCO le 21 mars, et d'autre part, le Printemps des poètes qui a lieu du 09 au 25 mars 2025 et remporte chaque année un succès mérité auprès du grand public, en France mais aussi dans 60 pays.
Chaque année, le thème du Printemps des poètes ouvre les frontières de notre imagination. En 2025, le thème sera "La poésie volcanique".
De multiples manifestations permettront des découvertes poétiques durant ce Printemps des Poètes, dans les transports en commun, dans les bibliothèques, les établissements scolaires ou encore les hôpitaux...
Vous pouvez devenir vous aussi un "passeur de poésie" en envoyant des poèmes autour de vous : petit poème mis anonymement dans une boite au lettre au hasard ou carte virtuelle poème envoyée à une personne que vous aimez... Tout est possible !
Pour approfondir ce sujet : site officiel du Printemps des Poètes
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Commentaires sur cet article : 108 commentaires
pourquoi Volcanique et non pas H...
Honneur H...Horreur ou H Humeur !!!
C'est superbe ce que
vous faite, je vous
souhaite bonne continuation et merci à tous de nous faire découvrir ces poètes merci
AU CŒUR DE LA LIBERTE
Je suis à quelques Kilomètres de chez moi
Mais chez moi, c’est ou ? Est-ce si loin ?
Non, non, je ne le crois pas
Chez moi, c’est tout simplement une terre
C’est tout simplement une terre de liberté
Chez moi, c’est moi chez la liberté
C’est moi libre, luttant pour mes frères de chaîne
Mes frères de sang, mes frères de terre, mes frères en dieu
Un cœur, c’est ou?
Un cœur, c’est quoi?
Un cœur, pourquoi?
Un cœur c’est tout, un cœur c’est toi
Un cœur c’est moi, un cœur c’est toi et moi
Un cœur c’est nous, un cœur c’est tous
Un cœur c’est tout, et tous pour la liberté…
Car la liberté, c’est le cœur de la terre,
et le cœur de la terre bat, bat, bat…
et continue de battre…
Partout où l’on vit pour la liberté
Partout où l’on se bat pour la liberté
Partout ou l’on meurt, pour la liberté
Partout ou on lutte pour que vivent libre,
Les enfants de dieu, les enfants de la terre,
Les enfants de la nature, les enfants de la liberté…
Et cependant, dans le silence profond de la nuit,
Seuls ceux qui savent écouter,
Ont raison de croire EN LA LIBERTE.
LIBERTE… LIBERTE…. LIBERTADE…..
Je désire faire entendre ma voix car ici je suis museler.
Posté le : 23/04 11:04:44 - Par : CHABANE NordineTrès très nul !!
Posté le : 23/03 20:03:13 - Par : gaborieauBonjour,
Vous pouvez aller sur le site officiel du Printemps des Poètes. Tout y est détaillé. Vive la poésie ;-)
J'aime vivement participer au printemps du poète mais je ne sais pas comment veuillez ma le dire svp
Posté le : 08/03 04:03:09 - Par : Samir FRAOUAJ'aime bien participer au printemps du poète
Posté le : 08/03 04:03:29 - Par : Samir FRAOUAtrès belle initiative que je transmet à mes enfants!
Posté le : 07/03 13:03:52 - Par : GarnierVive le printemps des poètes
Posté le : 07/03 11:03:13 - Par : telleTout ce qui a trait à la culture est bon à prendre.....
Posté le : 07/03 11:03:17 - Par : NICOLASun rayon de soleil ,
le printemps s'èveille.
le parfum des lilas,
la majesté des magnolias.
les perce-neige laissent
la place aux queue de souris.
le coucou n'a de cesse
de trouver un logis.
l'ail des ours sous les sapins
s'ouvre dans le parc voisin.
le gazon se couvre de pâquerettes,
les moineaux chantent à tue tête.
une coccinelle ouvre ses ailes ,
dans l'herbe une sauterelle.
un hérisson tourne en rond,
le pic-vert toque au balcon.
au jardin s'ouvrent les violettes,
au dessus de nos têtes,
l'écureuil fait du trapèze.
la chat ronronne sur la chaise
sur la branche du cèdre une corneille ,
dans l'ailante un nid d'abeilles
le chien saute pour attraper le papillon
des pervenches fleurissent sous les buissons.
juste après l'arc en ciel
une cigogne passe dans le ciel
un couple de colverts
est venu prendre l'air
une champignon avec son chapeau
salue le chant des oiseaux
ce n'est pas un conte de fée
regardez de plus près
les chatons des noisetiers
embellissent mon quartier.
infinis paysages. Francine Glardon
Je cherche des chats que tu aimes beaucoup.
Posté le : 16/11 09:11:28 - Par : Christian RasseletJ'ai fait une faute d'orthographe en écrivant "poèmes présentés" je rectifie, en respect pour nos amis poètes talentueux.
Posté le : 27/10 17:10:22 - Par : Dessertaine NoëlleAprès une lecture approfondie des poèmes présentées, je transmets toute mon admiration ainsi que mes félicitations que de belles âmes à continuer toujours pour nous faire rêver. Magnifiques messages !
Posté le : 27/10 17:10:42 - Par : Dessertaine ¨NoëlleBonne idée de mettre la poésie en valeur au niveau universel
Posté le : 27/10 13:10:27 - Par : Dessertaine NoëlleC'est une bonne idée de vouloir faire entrer la poésie en des lieux inhabituels.
J'espère pouvoir participer.
Août
Le soleil réchauffe la piscine
C’est l’heure de la sieste
Le camping s’habille de joie
Les enfants crient à pleine voix
Le sablier de nos vacances
S’écoule au sud de la France
Les vagues viennent sur les plages
Avec des barrières de coquillage
On entend Chouchou, crème glacée
Dans la tête un parfum de liberté
Qui nous revient comme un refrain !
On aperçoit le chaland de loin
Dans la rade Près du phare
Je ne peux écrire mais je lis avec passion tous ses beaux poèmes qui me font baume au cœur
Posté le : 24/03 14:03:08 - Par : nenzoLE SOLEIL DE MA VIE
Elle est belle comme le jour,
Je l'aime avec force et amour,
Elle est mon fruit de la passion,
Elle est ma joie et ma raison.
Elle est du signe du poisson,
Toute tendresse ou rebellion,
Si changeante comme la mer,
Elle est ma vie, mon univers.
Elle a ce petit supplément d'âme,
Qui lui accorde un certain charme,
Et de l'amour au fond des yeux,
Elle est ma foi, elle est mon Dieu.
Elle représente tout pour moi,
Je mets en elle toutes mes joies,
Elle est le vent, elle est la pluie,
Elle est le soleil de mes nuits.
Quand elle rit, je ris aussi,
En spectatrice de sa vie,
Et j'applaudis à son bonheur,
Elle est ma muse, elle est mon coeur.
Chaque matin quand je m'éveille,
Je me dis que monts et merveilles,
Perdraient à jamais tout leur éclat,
Si ma poupée n'existait pas.
Une initiative qui ne peut que sensibiliser les êtres en recherche de créativité : c'est mon cas alors merci
Posté le : 21/03 10:03:39 - Par : FERRERAjoute…
A ton cœur…Ajoute un peu de,
Patience, regarde nous sommes semblables !!
A ta patience…Ajoute un peu de,
Tolérance, écoute nous sommes de la même Terre !!
A ta tolérance…Ajoute un peu de,
Compassion, vois nous sommes de la même Eau !!
A ta compassion…Ajoute un peu...
D’Amour, ressens nous sommes du même Sang !!
A ton amour…Ajoute un peu de,
Sagesse, car la vie c’est tout cela à la fois.
C'est superbe
la, mettez nous des sujets avec poésie
Merci
Cordialement
Mme Laguzet
mon petit extrait poétique : Femmes couleur du monde
Qui invitent à la ronde
Ronde brune, ronde safran
Ronde multicolore
Sous une pluie d’aurore
Soleil Rose des vents,
Ciel encre de chine
On marie les parmes et les violines
Au Bleu citron et aux Oranges vertes
Femmes caramel à la peau de miel
Femmes noires des terres brûlées
Au soleil levant dans les dunes
Femmes à la plume acérée
A écrire des mots de nuit
Pour en faire des arcs-en-ciel
Sous forme de perles de pluie
.... trop long pour peu de place.
Un coucou poétique
Posté le : 18/03 17:03:31 - Par : micheleLielos
Le soleil éclaire son visage aux chaudes couleurs d'automne
Ses cheveux rivières de réglisses coulent le long de son dos
Des perles de sucre de cannes sur sa peau au goût de pain d'épice
Ses dents blanches éclatantes croquent la vie amoureusement
Ses yeux d'émeraudes pétillent de joie dès qu'ils te voient
Entre café et chocolat ses effluves de tendresse, douces et amères
Ambre de bonheur accroché a ton cœur avec un voile de pudeur
Dans les dunes d’un rêve infini elle s'enfuit dans la nuit
L’aube du jour nouveau s’ouvre sur ses paupières
Sur l’azur profond de son regard rempli de lumière
Sa voie mélodieuse t’offre un refrain de tendresse
Comme une caresse sur sa peau de douces promesses
Du sang d’où s ‘écoule la vie dans ses veines palpitent
Les émois d’une naissance au cri de l’amour qui invitent
Être unis, pour un instant, pour la vie pour une heure
A ouvrir ton cœur sur l’immensité à la source du bonheur .
Être femme
***Francine
Un lapin est passé ce matin
A traversé mon jardin
Il a laissé ce petit mot
Sur la table du bureau
Joyeuses Pâques !
Il a dansé une farandole
Déposé trois petits œufs
Il est reparti tout joyeux….
Francine
" Le poète a toujours raison
Je déclare avec Arago,
la femme est l'avenir de l'homme ... " de jean Ferrat . Son décès me fait de la peine car j'adorais ses chansons ; un de nos derniers chanteurs " à texte " ; j'écoute de nouveau ses disques en boucle en regrettant le fait que nos jeunes ne connaissent pas ( enfin , je ne suis pas si vieille non plus ) j'étais sensible à ses chansons ; de si belles chansons d'amour entr'autres ; et le seul à avoir su écrire une chanson sur les wagons partant vers les camps de concentration et que je fredonnais au lycée. Ferrat n'est pas enseigné dans les écoles , dommage à mon avis. Plus jamais la guerre. PAIX .
C'est quand meme bien, mais, j'espere que vous n'allez pas etoufer un si beau mouvement par un complexe femino-masculin. Ainsi, l'attitude machiste a sa raison d'etre. Humains, nous sommes, nous devrions nous mettre sur le meme piedestal a tous les niveaux. Il est vrai a certains egards scientifiques, la femme est douee de certaines valeurs et potentialites que le male ne possede pas, vice versa, certes. Il faudrait cependant ne pas faire prevaloire la difference a tout bout champ, en nous exposant a des prejuges ridicules.
Posté le : 11/03 16:03:29 - Par : ernst joachimc bien!
Posté le : 10/03 14:03:59 - Par : SITA-NZERIÊtre poète ne dure qu'un temps un laps de temps
Important de le prendre au bon moment
Poser sensations et ressentis sur papier
Pas évidant pourtant je me dois d'essayer
Écrire ce n'est pas être poète juste une rime
L'esprit en harmonie avec le corps
Jailliront de ces lignes qui jamais ne périment
Des mots encore et encore sans aucun remords
La lecture porte le poète vers l'écriture
L'âme parle le cœur s'ouvre et les mains écrivent
Apparemment si simple le temps me rattrape
Il ne me reste que très peu de temps
Encore quatre lignes cela sera assez
Plus que trois mais déjà je m'aperçois
Qu'arrivé à deux je suis accroc d'eux
Ces mots de la dernière rime... Au delà de tout !
Je ne peux m'empêcher chaque jour de penser
A toi, et ton regard qui m'a hypnotisé
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps
Je pense à toi souvent, je sais que tu m'attends
Ta voix ne peut pas, j'entends tes beaux yeux tout-bas
"Aime moi, aime moi, j'ai tant besoin d'amour"
Mes mots purs et fragiles tu reçois en retour
Pour toi je ferai tout si tu m'en laisses le droit
Bientôt j'ose espérer, nous retrouver souvent
Pour nous prendre dans nos bras, langoureusement
Tendrement, si tendrement je me livre à toi
Pour te dire à quel point ton charme agit sur moi
Je me lasse de ne pas être en ta compagnie
Tu m'appelles, je t'attends, vivement ce jour là
Auprès de toi pour t'embrasser toute la nuit
Sensuellement, Amour enfin te voilà
Des mots si doux je trouverai rien que pour toi
Les bains de douceur dans lesquels tu baigneras
Resteront chauds, puisque mes mots s'enflamment pour toi
Pour l'éternité, je tiens parole tu verras
Ces rimes seule toi les mérite, tu me rends si fort
D'un regard tu m'as conquis, je te donne ma vie
Des mots encore et encore sans aucun remords
Donner un sens au mot Aimer, je t'en supplie...
A mon père
Tu ne devais pas partir.
Car tu devais bâtir,
Un très bel avenir
Pour ton fils à venir.
Jours et nuits, père, je pense à toi.
Pas la peine de le dire, je te crois.
Je sais que tu voulais rester avec moi.
Peur être t’avais pas eu le choix.
Ton nom, papa, à travers lequel
Tout le monde m’appelle,
Fais que je me rappelle
De ta face si belle.
Et quand mon cœur bat,
Te sachant là-bas,
Me voyant ici bas,
Je continue mon combat.
Mon combat est un rêve.
Avant que ma vie s’achève,
Je réaliserai mon rêve ;
Celui de te voir en rêve.
La joie est visionnaire, le bonheur magicien, la vie miracle infini
Posté le : 09/03 11:03:26 - Par : nicole paulyChacun vit sa vie selon la bonté de Dieu le tout puissant
Posté le : 08/03 23:03:28 - Par : NANI Voila !
Aujourd’hui je m’assois
Au bord d’une petite rivière
Qui traverse mon cœur.
Mais, pour bien comprendre cette métaphore,
Il faut d'abord deviner quelle est la rivière
Qui traverse mon cœur !
Alors, honnêtement, aujourd'hui il bat, et il bat
Encore, il bat trop fort pour toi.
Je souhaiterai participer car j'écris depuis quelques temps
Posté le : 08/03 20:03:47 - Par : faure andréeA demi nue
A demi nue, elle se coucherait dans un divan,
Je la couvrirais de tissu bleu de satin,
Je lui caresserais les cheveux, qui chanteraient sous mes doigts,
Avant d’effleurer ses lèvres,
Elle se laisserait porter, envoler,
A ses pieds, je déposerais parfums et thés,
Chopin ne serait pas loin, et le parfum de Georges Sand embaumerait la pièce,
Je glisserais mes mains sur son front blanc,
Si bien que dans la pénombre d’un jour qui s’éteint,
Elle s’endormirait tranquille et aimée.
Je m’assoirais non loin d’elle,
Et subjugué par tant de tendresse et de désirs paisibles,
Le temps n’aurait plus de prise,
Si bien qu’au lever du jour, au chant d’un pinson,
Son sourire se réveillerait,
Et après un café savamment composé,
Je lui réciterais les vers qu’elle m’avait inspiré,
L’amour serait à notre table,
Sans qu’on ait eu à l’inviter…
18/03/03
Belle idée
ce printemps des poètes
"passeur de poésie"
La poésie est une merveilleuse amie et alliée, je trouve c'est idée géniale, j'écris moi-même des poèmes
Posté le : 08/03 15:03:20 - Par : gendrelMagnifique, bravo !!!!
Posté le : 08/03 14:03:30 - Par : MonaChampêtre odalisque
Généreuse, opulente, abandonnée, offerte,
Comme le fruit charnel de l’arbre du désir
Elle était la promesse du plus ardent plaisir
Gisant là, endormie, fleur d’or sur l’herbe verte.
En une vague blonde ses longs cheveux défaits
Découvraient son épaule et sa hanche pulpeuse.
Son corps épanoui, image voluptueuse,
Offrait à mon regard ses plantureux attraits.
Ses courbes, d’un sculpteur auraient fait le bonheur.
Tout autant que d’un peintre le nacré de sa peau
Que le soleil de mai rendait encore plus beau,
Laissant outre l’esthète, plus d’un passant rêveur.
L’organdi de sa robe aux longs plis indiscrets
Frémissant à la brise faisait une tunique
À celle qui semblait une statue antique
Ressuscitée, cachant ses plus charmants secrets.
La lavandière
Dans le petit matin, le chant de ses sabots
Éveille le vieux bourg engourdi par le froid.
Du labeur de la veille elle porte encore le poids,
Qui s’ajoute à celui que lui fait son fardeau.
L’énorme tas de linge et la poignée de paille
Qu’en guise de coussin au baquet elle mettra,
L’entraînent au ruisseau qui fume en contrebas,
Elle avec sa brouette allant vaille que vaille.
Par le souffle hivernal l’eau étant pétrifiée,
Elle commencera, ayant cassé la glace,
Par faire bouillir l’eau puisée à la surface,
Comme chaque matin, au seuil de la journée.
Avant de s’installer pour des heures à genoux,
Près de l’onde d’acier qui bleuira ses mains,
Elle allume le feu d’une pomme de pin
Au vieux foyer noirci, formé de gros cailloux.
Pendant que le feu prend elle bat la semelle
Et le bruit sur le sol, dans le matin brumeux,
S’envole, assourdi, et flotte, cotonneux,
Appelant les commères qui descendent vers elle.
Toutes embarqueront à bord du grand lavoir
Qui inlassablement les attend à la rive.
L’ultime lavandière qui maintenant arrive
Déclenche le concert des grands coups de battoir.
Elles feront jaillir des flots d’eau savonneuse
Dans la buée rendue par le linge fumant,
Tiré de la marmite et allant maintenant
Troubler le clair ruisseau d’une teinte laiteuse.
Les langues vont bon train et portent les ragots.
De toute la journée elles ne faibliront pas
Et malgré la fatigue et l’oubli du repas
Le rythme du travail sera leur vrai propos.
Enfin, le soir venu, la lessive finie,
Courbée sur sa brouette, harassée, sans un mot,
Pour préparer la soupe et soigner son marmot,
Elle regagnera promptement son logis.
Julie
Son regard et sa dent brillent dans la pénombre
De la cheminée sombre
Où brûle un maigre feu.
Assise sur le banc, elle contemple la flamme
Elle prie pour les âmes
De tous ses disparus.
Elle songe à ses enfants et aux autres des siens
Qui tous se sont éteints
En la laissant si seule.
Elle ne se plaint pas, elle porte en silence
Les plaies dont l'existence
L'a meurtrie corps et âme.
De sa vie de labeur elle attend le moment
Le grand, l'ultime instant
Qui en sera la fin.
Elle entrevoit le ciel où l'attend dans la joie,
Celui en qui elle croit
Et qui lui fera place.
Lorsqu’elle sera est partie,
Pour nous qui demeurons,
Restera à pleurer,
Regretter, déplorer,
D'avoir trop ignoré
Parfois comment lui dire
Par un simple sourire
ô combien nous l'aimions.
Assise à sa porte
Assise dans l’antre de sa porte
Elle contemple sa ruelle aux vieux pavés bleus
Un foulard sur sa tête
Un chapelet entre les mains
Se protégeant du soleil, comme elle peut,
Elle ne marche plus beaucoup
Depuis sa chute l’hiver dernier.
Son monde s’est rétréci.
Sur ses lèvres se dessine un sourire
Coloré de sa joie de vivre,
Elle qui a presque nonante ans…
Elle garde en elle, bien des souvenirs,
Des trésors tous ensoleillés,
Tous reliés à cette terre
De lave et de rocaille,
Où poussent courgettes et poivrons.
Elle aime ses petits-enfants, et arrières petits-enfants,
Ce sont ces joyaux,
Pour eux chaque jour elle rallume la flamme…
Elle t’attend déjà,
Assise sur sa vieille chaise en bois,
Et quand elle te verra,
Son cœur explosera,
Et des larmes de joie,
Couleront sur ses joues brunes et ridées,
Et je sais, qu’elle te sourira,
Et tous deux vous vous aimerez, sans faire de faux pas…
A ma grand-mère, ma nonna…
8/06/02
"Les femmes, ne sont-elles pas nos mères, nos grands-mères, nos amantes...
Trottins
Alerté par le bruit de son pas de trottin,
Mon regard s’est posé un instant sur sa bouche.
Nos yeux se sont croisés, alors elle a fait mouche
Et soudain s’est levé un souffle libertin.
Devant moi ses cheveux en vagues ondoyantes
Me dévoilent mutins sa nuque et son duvet
Et mon désir est tel que ma pensée revêt
Les contours voluptueux de lèvres festoyantes.
Alors que je la suis au rythme de ses reins.
Sa cheville cambrée et sa taille si fine
Excitent mon envie et déjà j’imagine
Mes mains se faisant soie pour habiller ses seins.
Puis elles se font velours pour habiller ses hanches
Là où sa robe tombe en plis si gracieux
Et où je m’évertue à percer de mes yeux
Des secrets érotiques aux saveurs de nuits blanches.
Horreur, un sombre gouffre, une porte cochère
La ravit à mes yeux. Je la perds à jamais.
Je me retrouve seul, je crois que je rêvais,
Mon songe s’évanouit, il n’était que chimère ...
... Mais un bruit de talons, c’est et un autre trottin...
J’aimerais laisser glisser…
J’aimerais laisser glisser mes mains
Le long du dos d’une femme,
Lissant lentement le creux de ses reins
Et ses rondeurs amoureuses.
J’aimerais laisser glisser mes lèvres
Le long de la poitrine d’une femme
Glissant lentement au creux de son ventre
Découvrant les feux de l’amour.
J’aimerais laisser glisser mes mains
Au creux de ses cheveux
Le long de sa blanche nuque
Eveillant en elle mille sensations.
J’aimerais goûter d’elle son parfum
J’aimerais me donner à elle
Goûter au nirvana des sens
Et ainsi emportés d’extase
Porter nos corps à une nouvelle naissance…
1/08/02
La Poésie vaincra...
Quelle bonne idée que de mettre la poésie à l'honneur...et de magnifier sa muse éternelle, la femme, et la poésie peut s'exprimer de tant de façons...
Elle est là, devant nous, près de nous, partout et les poètes grâce à leurs métaphores nous emmènent sur des chemins couverts d'or, celui qui est invisible aux yeux mais palpable du bout de son âme... La poésie vaincra...
Laissez passer ces jours de grâce... Si l'on mettait un peu de poésie dans notre quotidien, notre regard sur le monde s'en trouverait transformé.
Bravo et merci les poètes...
Ma plume d’amour
Je saisis ma plume
Tous les mots.
Les sentiments …
Sans aucune rancune,
Toutes ces années
Auprès de toi
Tu es La Reine,
Un vrai nid d’amour
Nous avons les cartes Maitresses.
Je suis le Roi.
Tu es le cœur qui ma donné vie
La lumière qui m'a guidée vers mon destin,
Tu es mon amie, et la plus plus belle des chéries.
Bonne Femme fête a toi maman.
Muriel
A mon amie Lucie …
Mon amie, dirais-je même…
Ma confidente !!!
Un amour de femme, si ardente.
Avoir quatre vingt-quatre ans
Et en croire d’une jeune femme,
Qui fête ces cinquante ans.
Merci à toi Lulu, d’avoir autant donné,
De gaîtés, comme tel est le moment …
Merci, d’avoir donné autour de toi !!!
Des larmes aux sentiments de joies,
De chaque instant …
L’amour, et la tendresse, la gentillesse.
Sans faiblesse d’une véritable maman !!!
Une maman qui, sans paresse …
M’offrir ce bonheur inconnu.
Le plus cadeau que l’on est reçu !
Chaque jour, ton regard pétillant.
La joie, la bonne humeur
La clé de ton cœur !
*Merci à toi, ma Lucie de m’avoir offert autant de bonheur depuis.
En cette occasion du "PRINTEMPS DE LA POÉSIE", je profite pour souhaiter "UN TRÈS BON ANNIVERSAIRE" pour MA FILLE KHADIDJA qui aura 30 ans, le 14 Mars et pour MA MAMAN LAZIZA qui aura 82 ans, le 21 Mars ! Je dédie ce poème de Victor Hugo, à toutes les petites mamans du monde qui ont tant donné pour leurs enfants :
Amour d'une mère !
Amour que nul n'oublie
Pain merveilleux qu'un Dieu partage et multiplie !
Table toujours servie au paternel foyer !
Chacun en sa part et tous l'ont tout entier !
Sadjo!
Poème dédié aux grands-mères.
Merci grand-mère,
de la peine que tu as pris un jour,
de me couvrir d'amour.
Amie sans détour,
cœur de mes premiers jours,
ou l'infinie tendresse
se mêlait à ma jeunesse.
Grand-mère au doux sourire,
les contes sur tes lèvres
étaient mes sourires.
Pays des Lutins ou de Fées,
tu créais sans nuages
les merveilleux pays
sans orages.
Mes rêves étaient peuplés de bleu,
et je chevauchais
dans les cieux.
Plus tard, si les pleurs attristent
mon visage,
j'ouvrirais, en secret, la porte
mystérieuse qui conduit,
amie précieuse ,
messagères des dieux,
dans le pays des enfants heureux.
pina
BRAVO ! Tout d'abord pour avoir réveiller en moi cette douceur d'antan où je passais des heures à faire de la poésie ! Je dédie ce petit poème à toutes les femmes qui pensent comme moi ! avec tous mes respects pour chacune de vous !
Tant que le masculin l'emporte sur le féminin, en syntaxe,
Femme il te reste un long chemin, le prix de la détaxe,
Tant que tu resteras une tête d'affiche sur un panneau de publicité,
Femme, tu demeureras pour l'homme une futilité,
Tant que tu joueras avec ton potentiel corporel, pour une faveur,
Femme tu donneras cette image de "saveur" ,
Tant que tu n'useras pas de tes compétences intellectuelles,
Le 8 MARS te donnera raison pour tes devants de la scène !
Sadjo ! Bonne fête à vous toutes!
Lielos
Le soleil éclaire son visage aux chaudes couleurs d'automne
Ses cheveux rivières de réglisses coulent le long de son dos
Des perles de sucre de cannes sur sa peau au goût de pain d'épice
Ses dents blanches éclatantes croquent la vie amoureusement
Ses yeux d'émeraudes pétillent de joie dès qu'ils te voient
Entre café et chocolat ses effluves de tendresse, douces et amères
Ambre de bonheur accroché a ton cœur avec un voile de pudeur
Dans les dunes d’un rêve infini elle s'enfuit dans la nuit
L’aube du jour nouveau s’ouvre sur ses paupières
Sur l’azur profond de son regard rempli de lumière
Sa voie mélodieuse t’offre un refrain de tendresse
Comme une caresse sur sa peau de douces promesses
Du sang d’où s ‘écoule la vie dans ses veines palpitent
Les émois d’une naissance au cri de l’amour qui invitent
Être unis, pour un instant, pour la vie pour une heure
A ouvrir ton cœur sur l’immensité à la source du bonheur .
Être femme
***Francine
Une excellente idée de revenir un peu sur les poésies qui sont un véritable trésor de sentiments et qui, j'en suis sûre, seraient très appréciés par des personnes seules, en maison de retraite, dans les hôpitaux, dans les maternelles et au-delà !!!!!
Posté le : 03/03 21:03:44 - Par : SOWADieu créa la femme à l'image d'une rose.
quand elle nait.
c'est un joli bouton de rose.
peu à peu elle ouvre ses pétales
tel une rose en été.
pour dévoiler toute sa beauté.
puis arrive l'automne.
et ses jolies pétales.
peu à peu se fanent.
EN mars.Du 8 au 21 MARS
Posté le : 03/03 15:03:10 - Par : gallianoLes poèmes sont des délices que dame nature et dame d'homme donnent avec charmes et couleurs à la vie merci à elles
Posté le : 03/03 15:03:15 - Par : deloumJe suis comme lulu b à défaut d'en créer c'est le plaisir de les lire, à toute âme inspirée continuez à jouer de vos mots ils nous enivrent et nous rappellent que nous sommes des êtres au cœur sensible
Posté le : 03/03 14:03:25 - Par : romyLes décisions les plus importantes,
Les décisions les plus sérieuses,
Quand on dit la nuit porte conseil,
C'est la femme qui entre en jeu,
C'est la femme que l'on réveille tard dans la nuit,
C'est vers la femme que l'on tourne pour discuter,
C'est avec multiples discussions que l'on se prépare pour prendre des décisions.
On a parlé de la femme comme épouse, de la femme comme mère, de la femme comme sœur ; mais la femme c'est la mer.
Regardons l'étendue de la mer ! qui peut me dire la superficie de la mer ? C'est ça la femme.
Vive le printemps le renouveau de la nature le chant des oiseaux le jour rallonge on revis bientôt le jardin les fleurs les barbecue c'est cela la vie il faut prendre le temps de vivre de respectée la nature qui ce réveille
Posté le : 03/03 13:03:47 - Par : chaouch jeanineC'est une bonne initiative de fêter la poésie. Elle est un peu tombée dans l'oubli. J'y suis très attachée, ma mère était poète. Je l'ai souvent accompagnée dans sa recherche d'inspiration, elle écrivait beaucoup sur la nature. "J'aime voir fleurir les roses, elles ont toutes leur secret, mais elles se fanent à peine écloses, et laissent mon cœur plein de regrets." etc
Posté le : 03/03 12:03:44 - Par : Laville-Dagnas RoseJolis poèmes, Francine Glardon. Merci !
Posté le : 24/02 10:02:03 - Par : Annie DurandUN PETIT MESS POUR TOI
Posté le : 23/02 20:02:50 - Par : bedelJe suis une vieille branche d'un arbre qui pleure sur ses années perdues, je suis à attendre devant cette cheminée qui va me réduire en cendre,mais voila qu'un homme me prend et me ramène à la vie me transforme en une cane et pour longtemps. Merci à toi
Posté le : 14/02 17:02:15 - Par : morandLa jeunesse passe
La vieillesse la remplace
L' amour ramasse
Les souvenirs restent en place
Dernièrement j'ai entendu sur votre site un chanteur genre poète, quel est son nom ?
Posté le : 20/12 18:12:14 - Par : cecile wardalefélicitations aux 6 gagnants du concours, une idée super a renouvelé sans hésitationS
encore Bravo
Femme tu es
Femme tu es ma mère
Femme tu es ma sœur
Femme tu es ma fille
Femme tu es ma collègue
Femme tu es ma compagne
Femme tu es mon amie
Femme tu es
Journée de la femme
8 mars 2004
Francine
Femme tu es
Femme tu es ma mère
Femme tu es ma sœur
Femme tu es ma fille
Femme tu es ma collègue
Femme tu es ma compagne
Femme tu es mon amie
Femme tu es
Journée de la femme
8 mars 2004
Francine
Le printemps des poètes va commencer avec la journée nationale de la femme....et sera "couleur femmes"
Je propose une petite devinette :
c'est la tienne ,
c'est la mienne,
mais elle n'appartient à personne....qui est-ce
réponse : la femme
Au nouveau bassin, ce matin
Une pie est allée voler
Quelques idées dans le pré d’à coté.
Un écureuil ramasse des noisettes
Pour faire un gâteau avec la belette.
Le ver luisant tout content sert un apéro fluo.
L’hirondelle cueille un bouquet de coquelicots.
Un gendarme s’exclame : pas de radar
Le lézard va à l’école des beaux-arts.
Une foulque et un canard
Vont voir le lac des cygnes,
Les petits rats sont à l’opéra.
A la filature, le merle répète
A tue tête, un air de fête
Joyeux anniversaire
francine
C’est la rentrée,
Le soleil s’est levé !
Les cahiers sont prêts,
Les colchiques dans les près.
Les hirondelles sont belles,
Pour leur grand voyage annuel.
Les feuilles tourbillonnent dehors,
Pour déposer un tapis jaune d’or.
Des fées imaginent la dictée,
Aux couleurs argentées,
Avec plein de jolis mots,
Dans leur sac a dos.
Le clavier de l’alchimiste,
Fait des calculs fantaisistes,
Multiplication de bonbons !
Division des punitions !
C’est l’heure de la récrée,
Pour les lutins,l es farfadets !
Francine
septembre 2009
La rentrée
Multiplication de bonbons
Division des punitions
Plein de jolis mots
Dans ton sac à dos
merci beaucoup! et a présent bonnes vacances en France
Les vacances
La surveillance a de la chance
L'administrateur n'a plus d'heure
La compta n'est pas là
La DRH s'arrache
Le standard se barre
Les techniciens ne font rien
La COM c'est tout comme
Les secrétaires prennent l'air
La billetterie fait tapisserie
L’accueil se défeuille
Les RP vont camper
L’opéra s’en va
L'OSM s'essaime
La médiathèque fait avec
La scène nationale s'emballe
La culture perdure
La filature clôture
Le directeur devient flâneur
Acteur, compositeur, chanteur
Tout le monde est de bonne humeur....
Bonnes vacances à tous francine
Très joli poème
Posté le : 29/07 14:07:03 - Par : Luciecomment faire pour vous envoyer des proposition de poèmes pour des ecards....Ménage ,ménage
Du soir au matin
Un chiffon à la main
Dépoussiérer les bureaux
Aérer les locaux
Aspirer la moquette
Il faut que ce soit net
Passer la machine
Avec le lavage a plat
Tu as la technique
Passer la machine
Dans la zone publique
Y peuvent pas faire attention
Est-ce qui font ça à la maison
Ronchon un petit peu
Dans ta blouse bleue
Mais toujours gentille
Faut qu’ça brille
Francine
"Le Printemps des Poètes".
Lise, je trouve cet article bien rédigé, etc.
Continuer.Ca m' intéresse.
Voilà !
Bye !
Bonne journée !
Une Internaute anonyme.
Les amoureux fervents et les savants austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.
Amis de la science et de la volupté,
Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ;
L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté.
Ils prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx allongés au fond des solitudes,
Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ;
Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques,
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
Charles BAUDELAIRE
Très beau, n'est-ce pas ? A défaut d'être poète moi-même, j'aime la poésie de nos grands poètes français
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